Migrer c’est accepter d’endosser tous les rôles ;
Migrer c’est faire ami avec l’inconnu, apprivoiser l’imprévisible ;
Migrer c’est apprendre de manière accélérée que le temps ne s’écoule pas de la même façon d’un territoire à l’autre ;
Migrer c’est apprendre l’empathie, sinon sombrer dans le nombrilisme ;
Très souvent migrer, c’est recommencer à zéro, recommencer à tout apprendre ;
Migrer c’est d’accepter, que ce qui sont restés vivent sans nous attendre ;
Migrer c’est accepter la douleur de la séparation, le pincement de l’aurevoir ;
Migrer c’est ouvrir la porte à un autre départ, et y aller riche de son vécu et des expériences vécues ;
Migrer c’est accepter d’aller là où ses pas ne sont jamais allés, c’est accepter d’être vulnérable devant l’inconnu qui peux être une personne ou un évènement ;
Migrer c’est être humain, explorer sa soif de découvertes et rencontres ;
Migrer, c’est faire un pas…
L’on devrait pouvoir élaborer une base de connaissances commune et partagée pour
- dépassionner la politique,
- réconcilier les Humains,
- poser des mots, ses mots sur des expériences de vie,
- décrisper le politique,
- s’inspirer passionnément des moments des uns qui s’imbriquent dans l’Histoire de l’humanité.
Par SBYT