Paul était un gentleman. Il avait tout ce dont avait rêvé Kouna, il savait parler à son oreille et briser les dernières barrières qui pouvait subsister. Certes elle avait 33 ans mais, il n’était pas question de se donner à ce Paul, aussi élégant et craquant qu’il pouvait être.
Il passait ses journées à la caresser d’attentions, ne laissant aucun répit, aucun moment de résurgence des pensées qui auraient pu l’amener à mettre la raison devant la passion qui grandissait en elle comme un feu dévorant. Il avait aménagé son programme de manière à occuper ses pensées tout au long de la journée, entre des brèves sur son blog et des poèmes via WhatsApp elle avait de quoi occuper l’esprit avec les mots délicieux et délicats que Paul adressait à son ego.
Comment pouvait-elle résister ? Elle qui s’était faite traiter de ratée car de sa génération, elle n’avait pas encore rejoint le cercle des ses amis et sœurs mariés. Avait-elle envie de construire une relation basée sur la compréhension de l’un et l’autre ? La suite de l’histoire nous dira non car la cérémonie fut belle et émouvante, pleine de charme et glamour car il faut dire qu’il avait mit les petits plats dans les grands.
Aujourd’hui perdu dans les pensées de l’hypothèque qui la pendait au nez, elle s’emmura dans le silence des mots.
Un peu perdue par la fin. Sinon, belle plume comme toujours
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Merci
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Je ne suis pas sûre d’avoir tout compris ou plutôt j »ai plein des questions: Elle ne l’aime pas? Elle ne le comprends pas? D’où vient cette hypothèque?L’hypothèque est-elle une métaphore? Aura t-on une suite?
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La suite arrive. Merci
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