L’opérette est une rencontre pleine de surprises et d’enseignements, un délice pour mon esprit qui a parmi ses règles, on ne finit jamais d’apprendre. Je suis allé au théâtre pour voir une opérette : La veuve joyeuse. L’opérette est un genre théâtral dans lequel les couplets chantés alternent avec le parlé. La définition est réductrice de l’expérience, la définition est un agencement de jolis mots qui tentent de nous faire découvrir quelque chose qui ne peut se raconter. Nulle intention pour moi, de le faire je ne saurais faire parler les émotions.
C’était ma première expérience, de celle que l’on n’oublie pas, celle qui vous invite au plaisir des sens. Elle a durée un peu plus de trois heures, pas toujours facile à suivre, les paroles sont dans un français ancien et quand elles ne le sont pas, le français chanté façon théâtre est toute autre chose.
Une représentation théâtrale et musicale de toute beauté, un orchestre dirigé par un maître d’orchestre comme je n’avais vu jusque là, que derrière le petit écran, que dire de la harpe, ce instrument majestueux qui a occupé une partie de ma soirée, tellement je me suis concentré pour séparer les sons et l’entendre jouer. L’artiste le faisait tout en douceur, lentement et surement laissant l’instrument diffuser une musique délicate et qui se mêlait harmonieusement avec les autres. Un orchestre avec pleins d’instruments que je ne saurais citer suscitant chez moi une envie d’y aller encore encore et encore.
Que dire de la représentation théâtrale, je tire mon chapeau à tous ses artistes qui travaillent ensemble des heures et des heures pour, offrir une représentation qui fait plaisir à tous les âges. Dans la salle il y avait un brassage de générations et chacun, tout le long de la représentation a été à l’unisson pris dans le spectacle. On eu droit à un french cancan, comme dans le moulin rouge mais je dirais en mieux, comparaison n’est pas raison, pour moi c’était un moment exceptionnel.
Que dire ? Si vous avez l’occasion n’hésitez pas. J’ai aimé et chaque fois que j’aurais l’occasion je retournerai avec beaucoup de plaisir.
Une histoire plurielle 
Avoir l’opportunité de découvrir ce que par le hazard (s’il existe) des naissances nous n’étions pas pre-destiné a connaitre..Mais les découvertes scientifiques sont passées par là..l’evolution ou l’involution (c’est selon) de la société a pris corps..désormais nous fantasmons d’un ailleurs que nos anciens n’ont pas connus (si ce n’est fer aux pieds pour la plupart, arme au poing pour d’autres)..comme nos petits enfants noir de soweto qui apprennent la danse classique sur un sol en terre battu des salles de classe vidées pour la circonstance, le mur défraichit comme barre, l’espoir tenace..les étoiles du ballet dans les yeux. l’art se veut et devient universel.. Village planétaire « in deed »..allons donc vers l’autre et sur le chemin decouvrons-nous nous-meme..
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