Un antioxydant de qualité, des qualités reconnues d’anti-obésité (Christian et Elie peuvent confirmer) et de nombreux minéraux et vitamines. Toutes ces qualités pour le roi de la santé, j’ai nommé le piment.
Il existe un autre roi qui bouscule les codes, ne fait pas l’humanité mais il faut le reconnaître, force le respect. Que l’on y croit ou pas, quelques soient le bord duquel on se réclame son action a un impact durable dans notre existence. Sur ce je vais partager dans le cadre du challenge du blog Contest en tant que guest mes émotions sur le thème : « Le piment dans la sauce ».
Avec l’amour il a déjoué tous les codes établis, la sagesse et l’intelligence du monde en sont encore ébranlés. Avec l’amour il démontre que rien n’est impossible. Ce piment là s’insinue dans toutes les sauces quelles soient physiques ou spirituelles et, une fois dans le palais, dès l’instant que son parfum ou sa saveur est sur vos papilles, il fait de l’effet et vous ne serez plus jamais le même.
Du temps de ma jeunesse j’aimais cette phrase du chanteur Koffi Olomidé : « L’amour n’existe pas, il n’existe que des preuves d’amour » et j’aime à penser qu’il a raison. De l’amour on peut avoir une définition différente avec les preuves qui l’accompagnent, des milliards de voisins que nous sommes. Pour les uns, elles seront, un conte de fées et les autres un cauchemar. Les preuves d’amour sont légions pour nous et à chaque culture sa définition. Un bouquet de fleurs suffit dans certaines cultures a attendrir un cœur amer et en proie au doute, dans certaines une bonne baston entre conjoints est considérée comme une preuve irréfutable d’amour – je n’encourage pas la violence, ne tombez pas sur moi à bras raccourci – pour d’autres encore c’est cueillir la lune ou comme l’autre le chantait et nous on zoukaient avec : « J’irais au fond de l’océan chercher ton reflet et j’arrêterais le temps et défierais les chutes du Niagara pour te prouver mon amour… ».
L’amour, celui qui dépasse mon entendement, s’est exprimé par le sacrifice ultime. Je n’étais pas là, je n’ai rien vu, ni entendu, je ne connais pas la couleur ou la race de tous les protagonistes, je suis loin d’imaginer tous les enjeux et les motivations. Ce que je sais et qui est partagé par de nombreuses personnes peu importe la confession ou le courant, c’est que la foi est un piment qui retourne toute les sauces. Un piment que nous essayons de doser et dompter mais il faut le reconnaître échappe à tous nos codes.
Le piment dans la sauce ou encore la foi dans notre relation avec Dieu -quelque soit comment on le nomme- et l’amour dans nos relations avec les autres, de quoi, nous rendre la bouche en feu mais fort heureusement, comme toutes choses, il y a une douceur qui nous fait apprécier les bienfaits : un verre de lait ou un fromage pour le piment, de l’assurance quand notre Dieu est au rdv et des relations saines et pleines de moments magiques quand l’amour transpire à travers nos actes.
L’éducation dans la sauce (pimentée), Le danger c’est le piment dans la sauce, le piment dans la sauce ou encore le piment qui cache une grande sauce, autant d’articles, autant de sensibilités qui enrichiront le thème imposé de ce mois par le Blog Contest.
Super approche et bien écrit en plus!
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Waouhhhh!!!
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Bravo…. sans le Père nos vies seraient insipides
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Chacun le nomme comme il veut ou l’identifie à ce qu’il veut…laissons libre cours à nos imaginations pour désigner celui ou ce qui rend nos vies intrépides et palpitantes.
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